Pourquoi les milliardaires continuent-ils à investir dans les crypto-monnaies ?

Les crypto-monnaies sont au cœur de très nombreuses polémiques. Certains milliardaires, comme Alan Howard qui est à la tête du Brevan Howard Asset, continuent à croire en l’avenir de la monnaie virtuelle. L’homme d’affaires vient en effet de prendre une grande décision.

Un investissement conséquent

Alan Howard aurait commencé à investir dans les crypto-monnaies durant l’année 2017. Et malgré la chute catastrophique des cours des monnaies numériques depuis le début de l’année, il n’a pas l’intention de quitter le bateau. En effet, le milliardaire a prévu d’investir encore, de manière conséquente. À tel point qu’il aurait embauché un salarié à plein temps pour gérer cet investissement personnel. Il souhaiterait d’ailleurs continuer à recruter du personnel et à investir davantage dans ce qu’il considère comme la monnaie du futur.

Si cette initiative semble intéressante, c’est tout simplement parce que l’homme d’affaires n’enterre pas les crypto-monnaies, contrairement à d’autres. Et il n’est pas le seul à lorgner sur les monnaies virtuelles. Plusieurs milliardaires suivent la tendance.

Un intérêt croissant pour les crypto-monnaies

Plusieurs milliardaires, à l’instar donc d’Alan Howard mais également de Tim Draper, ont choisi de se tourner vers les crypto-monnaies. Leurs investissements sont excessivement importants, ce qui semble prouver que les monnaies virtuelles ont encore un bel avenir devant elles. D’après certains spécialistes, les cours pourraient continuer à chuter avant de remonter d’ici la fin de l’année. Ces investissements seraient donc risqués mais maîtrisés !

Ces hommes extrêmement riches n’investissent pas à la légère, et nous parlons ici de millions de dollars de fortune personnelle. Ces milliardaires croient donc plus que jamais en l’avenir du Bitcoin et des autres monnaies numériques.

L’avenir nous dira s’ils avaient raison. Actuellement, le marché est plutôt catastrophique, mais on imagine qu’ils ont en leur possession des informations sûres. Auquel cas ils n’investiraient pas… ?